cécilia bracmort

Cécilia Bracmort  est une artiste et commissaire franco-canadienne qui favorise dans son art et ses projets de commissaire le mélange des genres, la transdisciplinarité et l’expérimentation.

À travers sa vision multifocale en lien avec ses «couches identitaires», ses projets créent des ponts entre des thèmes et des notions qui la touchent de près tels que l’histoire, la mémoire, l’identité, l’écologie ou la spiritualité.

Par sa pratique artistique et curatoriale, Cécilia veut favoriser l’émergence d’autres perceptions du monde, et encourager le public à penser en dehors des sentiers battus, sous une nouvelle lumière.

En 2019, elle œuvre en tant que commissaire de l’exposition Reclaiming My Place à la galerie d’art Warren G. Flowers au Collège Dawson qui présente les œuvres des artistes Shanna Strauss, Cedar-Eve et Sharon Norwood, réclamant une meilleure visibilité des créations des femmes artistes noires, racisées et autochtones dans le milieu des arts. Soutenue par Alliance en 2018-2019, l’exposition sera de nouveau présentée au Centre Lethbridge en 2021. Dans le cadre d’Alliance 2020-21, son projet porte sur l’amélioration de la visibilité de son profil dans le milieu des arts visuels et de ses compétences en matière de communication. 

 

diane hau yu wong

 

Diane Hau Yu Wong est la lauréate de l’accompagnement jumelé articule + MAI pour commissaires 2020-22.

Habitant les territoires non cédés des Salish de la côte et le territoire de Tiohtiá: ke, Diane Hau Yu Wong est commissaire émergente et historienne de l’art. Elle a obtenu un baccalauréat en histoire de l’art de l’Université Concordia en 2018. Sa pratique de commissaire et ses recherches reposent en grande partie sur son expérience en tant qu’immigrante de deuxième génération et sont imprégnées de l’intersection entre les identités communautaire et diasporique. Dans le cadre de l’accompagnement jumelé articule+ MAI pour commissaire, Diane se penche sur le futurisme numérique comme voie de réinvention d’un monde meilleur et d’une solidarité durable entre les communautés noires, autochtones et racisées à travers la technoculture et la fiction spéculative. Elle a récemment commissarié l’exposition des diplômé-e-s du Centre A en 2019 intitulée (dis)location (dis)connect (dis)appearance, portant sur la perte des langages, des traditions et des cultures dans la communauté diasporique.

Ce partenariat est financé dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal par la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec, ainsi que par le Conseil des arts du Canada » avec les logos du MAI et de la ville de Montréal.